Activités
La MAFF présente à la 4ème convention maroco-américaine
La MAFF a été présente aux travaux de la 4ème convention maroco-américaine qui s'est tenue à Washinghton les 10 et 11 octobre 2009 par l'intermédiaire de son membre de bureau Mlle Yasmine Hasnaoui qui a participé activement aux travaux de cette convention.
Elle a d'ailleurs été interviewée à ce sujet par la première chaine de télévision marocaine. Vous pouvez écouter cet interview en cliquant sur le lien suivant : http://www.snrt.ma/Le-Journal-televise-en-arabe-du-11-10-09_a10629.html
Elle a d'ailleurs été interviewée à ce sujet par la première chaine de télévision marocaine. Vous pouvez écouter cet interview en cliquant sur le lien suivant : http://www.snrt.ma/Le-Journal-televise-en-arabe-du-11-10-09_a10629.html
Visio Conférence de la MAFF avec le Cercle Jefferson
Dans le cadre du développement des échanges et de la coopération avec des associations similaires, une visio-conférence avec l'association française "Le Cercle Jefferson" a été organisé le 09 juillet 2009. M. Pascal Dupeyrat, le secrétaire General de l’Association "Le Cercle Jefferson" a partagé avec les membres du bureau de la MAFF un certain nombre d'idées pour développer les activités de l'Association.
Visite du TALM au profit des jeunes
En juin 2009, The Moroccan American Friendship Foundation en collaboration avec l`Ambassade des Etats Unis au Maroc ont organisé une visite au Musée de la Légation américaine de Tanger. Ce voyage s'inscrit dans le cadre d'un projet pédagogique pluridisciplinaire que le programme ACCESS offre. Il a pour but d'offrir aux étudiants d’ACCESS une sensibilisation à la culture et à la civilisation américaines. Des étudiants de l'Institut National pour la Jeunesse et la Démocratie ont également pris part à ce voyage.
Ce voyage avait donc pour objectifs majeurs de permettre aux étudiants du programme ACCESS de connaître et de se forger un savoir à propos de l`histoire des Etats Unis et aussi de renforcer leur compréhension quant a leurs relations à autrui.
M. Kunihulm Directeur du Musée s'est chargé de faire visiter les participants les huit galeries de la légation comprenant une collection variée de cartes anciennes, de photographies historiques, d’œuvres architecturales, de collections d'art et de tapis marocains remontant a 1821.
Après la visite du musée, Ruth Petzold, Abdelatif Khadra, du bureau des Affaires publiques de l'Ambassade des Etats Unis et Yasmine Hasnaoui membre de the Moroccan American Foundation Friendship Foundation ont animé des activités et des discussions en référence a la présentation de M.kuniholm.
Le programme s'est terminé par un récital présenté par les musiciens et artistes Dr. Julia et Tarik Banzi qui ont élaboré sur les origines de la musique andalouse lors de la présence arabe en Espagne. L'exposé a été suivi d’une performance musicale des Banzi. L’audience a été joliment emporté et la salle retentissait d’applaudissements.
Ce voyage a été très fructueux, il a offert au Club ACESSS Alumni, et aux étudiants de l'institut de la jeunesse et de la démocratie une expérience sans précédent. Il a également donné aux membres de la MAFF l’opportunité de rencontrer les membres d'une organisation d'anciens élèves et dialoguer avec des personnes d'horizons différents.
Ce voyage avait donc pour objectifs majeurs de permettre aux étudiants du programme ACCESS de connaître et de se forger un savoir à propos de l`histoire des Etats Unis et aussi de renforcer leur compréhension quant a leurs relations à autrui.
M. Kunihulm Directeur du Musée s'est chargé de faire visiter les participants les huit galeries de la légation comprenant une collection variée de cartes anciennes, de photographies historiques, d’œuvres architecturales, de collections d'art et de tapis marocains remontant a 1821.
Après la visite du musée, Ruth Petzold, Abdelatif Khadra, du bureau des Affaires publiques de l'Ambassade des Etats Unis et Yasmine Hasnaoui membre de the Moroccan American Foundation Friendship Foundation ont animé des activités et des discussions en référence a la présentation de M.kuniholm.
Le programme s'est terminé par un récital présenté par les musiciens et artistes Dr. Julia et Tarik Banzi qui ont élaboré sur les origines de la musique andalouse lors de la présence arabe en Espagne. L'exposé a été suivi d’une performance musicale des Banzi. L’audience a été joliment emporté et la salle retentissait d’applaudissements.
Ce voyage a été très fructueux, il a offert au Club ACESSS Alumni, et aux étudiants de l'institut de la jeunesse et de la démocratie une expérience sans précédent. Il a également donné aux membres de la MAFF l’opportunité de rencontrer les membres d'une organisation d'anciens élèves et dialoguer avec des personnes d'horizons différents.
Conférence : Les cents jours d'OBAMA :
L'intérêt porté aux 100 premiers jours d'une nouvelle administration aux États-Unis date de la présidence de Franklin Delanoë Roosevelt. Du 9 mars au 16 juin 1933, lorsque le pays était plongé dans la Grande Dépression, le président Roosevelt a modifié en profondeur la société américaine avec une série de programmes destinés à aider les Américains en difficulté et à relancer l'économie, que l'on a baptisée le New Deal.
Depuis, tous les présidents américains ont dû affronter cette comparaison, effectuée par les médias, avec l'aide d'innombrables experts. Le fait que Barack Obama ait pris ses fonctions au moment où les États-Unis sont plongés dans la plus grave crise économique depuis la Grande Dépression ne fait qu'augmenter l'intérêt de l'exercice.
Une fois passé l'émoi d'avoir assisté à l'assermentation d'un premier président à la peau noire dans un pays au passé esclavagiste, une réalité indéniable s'impose: le président Obama a pris les rênes de la première puissance économique et militaire du monde mais aussi d’un pays épris de liberté et d’égalité, à un moment très délicat.
L'économie américaine connaît ses heures les plus sombres depuis la Grande Dépression, et le pays livre deux guerres, l'une en Irak, l'autre en Afghanistan, que les États-Unis ne sont pas en train de gagner, de l'avis même du président.
Ces deux aspects auront certes dominé les trois premiers mois de Barack Obama au pouvoir, mais ils n'auront pas été les seuls. Le président n'a jamais caché qu'il propose un programme ambitieux, où la relance économique passe, entre autres, par des projets concernant la santé, l'éducation, l'énergie et l'environnement.
Force est de constater que l’inspiration collective du « Yes we can » matérialisée par cette « Obamania » place le président Américain au rang de méga star, super héros ou icône. Un « Super Président » qui au-delà de son mandat national, est appelé à la rescousse pour venir panser les plaies identitaires des uns et réécrire les destinés nationales des autres. Le tout entre un G20, l’expression d’un nouveau polycentrisme qui se dessine à l’échelle mondiale et un passage dans le Tonight Show de Jay Leno.
Le monde entier en attend énormément de la part de Barack Obama et tout de suite. Mais qu’en est-il réellement ? Ces changements se sont-ils opérés et si oui, à quel niveau ? Réalité ou espoirs démesurés ?
Depuis, tous les présidents américains ont dû affronter cette comparaison, effectuée par les médias, avec l'aide d'innombrables experts. Le fait que Barack Obama ait pris ses fonctions au moment où les États-Unis sont plongés dans la plus grave crise économique depuis la Grande Dépression ne fait qu'augmenter l'intérêt de l'exercice.
Une fois passé l'émoi d'avoir assisté à l'assermentation d'un premier président à la peau noire dans un pays au passé esclavagiste, une réalité indéniable s'impose: le président Obama a pris les rênes de la première puissance économique et militaire du monde mais aussi d’un pays épris de liberté et d’égalité, à un moment très délicat.
L'économie américaine connaît ses heures les plus sombres depuis la Grande Dépression, et le pays livre deux guerres, l'une en Irak, l'autre en Afghanistan, que les États-Unis ne sont pas en train de gagner, de l'avis même du président.
Ces deux aspects auront certes dominé les trois premiers mois de Barack Obama au pouvoir, mais ils n'auront pas été les seuls. Le président n'a jamais caché qu'il propose un programme ambitieux, où la relance économique passe, entre autres, par des projets concernant la santé, l'éducation, l'énergie et l'environnement.
Force est de constater que l’inspiration collective du « Yes we can » matérialisée par cette « Obamania » place le président Américain au rang de méga star, super héros ou icône. Un « Super Président » qui au-delà de son mandat national, est appelé à la rescousse pour venir panser les plaies identitaires des uns et réécrire les destinés nationales des autres. Le tout entre un G20, l’expression d’un nouveau polycentrisme qui se dessine à l’échelle mondiale et un passage dans le Tonight Show de Jay Leno.
Le monde entier en attend énormément de la part de Barack Obama et tout de suite. Mais qu’en est-il réellement ? Ces changements se sont-ils opérés et si oui, à quel niveau ? Réalité ou espoirs démesurés ?
